Mes pratiques polymorphes reformulent, reprennent gestes et langages. J’entame une recherche sur le crépuscule comme espace_temporel_seuil. Je m’imprègne de lieux pour proposer des performances et installations immersives. En rituels, en vidéos, en pièces sculpturales et sonores, argiles que je piste le long de cours d’eau, en dagues de bois que je glane, céramiques semblant se mouvoir en êtres des abysses, en écrits invoquant des présents et présences. J’invite à parcourir des espaces par des lectures. J’entretiens un rapport particulier à l’oralité, aux voix. J’interviens en tentatives décoloniales, en corps en transit imaginant des devenirs démultipliant des mondes.